Dix ans après la sortie du jeu, je me suis racheté en seconde main Until Dawn sur PS4 et version originale, donc pas le remake qui a eu quelques modifications askip. Et tout pareil qu’à l’époque: quel kiff d’y jouer! 🤩
Je trouve qu’à l’heure actuelle, c’est un titre qui n’a absoluement pas vieilli! Son gameplay reste simple mais efficace, entrainant ce qu’il faut de réactivité, de tension et de réflexion avec l’insert intelligent de séquences avec QTE et un mode de jeu narratif où les choix effectués viennent influencer l’histoire, les graphismes restent hyper corrects, peut-être que la modélisation et la maniabilité des personnages fera éventuellement tiquer ceux qui sont habitué à des mouvements et des expressions rendues encore plus fluides avec les technologies actuelles mais le rendu reste quand même incroyable et la prise en main se fait sans trop de problèmes. Honnêtement, je n’y trouve rien à redire de ce coté, surtout pour un titre qui a désormais dix ans d’âge!
L’ambiance est toujours aussi excellente: d’abord c’est un peu mou parce que calme: c’est la mise en place, ce sont les retrouvailles d’une bande d’ami, mais c’est vraiment bien équilibré, les choix ne sont pas encore impactants mais ils influencent à tout le moins déjà les relations entre les personnages, pour petit à petit devenir de plus en plus décisif dans leurs survie, littéralement. Certaines choses sont assez évidentes, d’autres moins, ce qui permet au titre justement d’avoir une très grande rejouabilité si on veut découvrir un maximum les différentes combinaisons, morts et variations de la fin pour celles et ceux qui aiment tester toutes les combinaisont possibles. Le titre gagne en horreur et tension au fil des heures, complété sur le coté par un aspect enquête plutôt satisfaisant à suivre en collectant divers indices et souvenirs pour relier les évenements entre eux. Il y a un aspect pour les amateurices de collecte assez important pour cerner à la fois toutes les nuances du scénario mais aussi trouver tous les indices pour mener à bien la gestion de la survie du groupe via la collecte de divers totems renseignant sur les morts, choix et situations potentielles pouvant se présenter (ou être évitées ou ne jamais se présenter, c’est selon). J’ai beaucoup aimé faire cette chasse aux indices, un peu trop même, parce qu’elle restait accessible à faire même si elle se compliquait légèrement sur la fin, avec moins d’évidences dans les chemins à prendre pour collecter avant de perdre la possibilité de revenir en arrière par exemple 😅 Je n’ai d’ailleurs pas su tout faire à 100% mais je suis au final, passé à coté de peu de choses, ce qui me donne envie de revenir au jeu pour viser le 100% pour le scénario 😁 la bande-son vient compléter ce tableau et offrir de bons moments de tension, elle remplit très bien son job.
Je ne voyais pas le temps passer en y jouant, on peut plier le jeu en quelques heures, mais facilement y rajouter quelques heures supplémentaires voire parties complète si on souhaite, pour les amateurices de la méthode, explorer tout les scénarios possibles et les diverses morts (j’ai lu qu’il pouvait y avoir jusqu’à 200 combinaisons de morts possibles 🤔), j’y reviendrais surtout pour tenter la combinaison “je sauve tout le monde” et débloquer de fait la vraie fin 😁 Car en cours de route, j’ai perdu Matt, le seul pour qui c’est un peu tendu de sauver, et Sam.. juste avant la fin 😶🌫️ Je ne vous raconte pas à tel point j’étais dégoutée 🤣
Globalement, Until Dawn est pour moi un de mes titres favoris sur la PS4, un très bon équilibre entre slasher, jeu narratif et enquête, avec sa juste dose d’heures de jeu et de choses à faire et une écriture réussie, car l’ensemble du scénario se tient bien et est accrocheur 🙂 j’apprecie qu’il n’aie pas versé dans le gore superflu, celui qui enchaine les morceaux vraiment dégueulasse juste pour obtenir un rendu le plus crade possible, on est davantage dans la psychologie et des effets de jump scrare connus mais efficacement placés, avec quelques effets de surprises qui ont bien fonctionné alors que je suis d’ordinaire assez difficile à surprendre 😁
Je ne sais pas encore si je vais de suite y retoucher pour refaire certaines parties ou si je remise le jeu dans la ludothèque pour le refaire entièrement au bout de x temps, à voir… Mais en attendant, je ne peux que vous recommander d’y jouer, on le trouve facilement à une dizaine d’euros voire moins sur PS4, probablement parfois gratuit via des systèmes d’abonnements ou de promotions sur les eshops. Il en vaut largement la peine, et y jouer à deux comme on l’a fait à savoir en discutant des décisions et chemins à prendre, c’est peut être pas comme jouer en coop sur un Mario mais c’est très sympathique à faire 😃 ça revient un peu à commenter tout un film ensemble 😄
Je précise que j’ai volontairement pas parlé du contenu-scenario du jeu pour ne rien spolier 🤗 et que si à tout hasard vous avez vu le film qui s’en est inspiré, pas de spoils à craindre, ils sont totalement indépendants l’un de l’autre et le film est juste une grosse bouse, voilà. 👀 Si vous y aviez déjà joué, je serais bien curieuse de connaître votre avis 👌
Cela fait longtemps sans chronique lecture & co, clairement, je ne brille pas par mon assiduité 🤡🫣😅 mais promis, je vais veiller à rectifier un peu le tir 👌 Du coup aujourd’hui, ce sera un gros récap de ces dernières semaines coté review 🤗 Je te place comme d’habitude une balise par catégorie, libre à toi de zapper celles qui ne t’intéressent pas 😛
📚 Coté lectures : Je te disais dernièrement que j’étais à fond dans la lecture de la série La demoiselle et le mousquetaire, je pense que je n’avais pas encore lu tout ce qui était déjà sorti, en principe c’est plus ou moins chose faite, j’ai lu les 6 tomes sur les sept que compte la série. Je n’ai par contre, pas lu les nouvelles, il faut que j’y remédie 😛 C’est vraiment une chouette série de livres assez modernes dans le ton et l’évolution des relations entre les personnages, amusants, légers et faciles à lire, avec généralement des enquêtes de type whodunit qui vous embarquent dans un jeu du détective. J’ai pris pour la majorité des histoires grand plaisir à dénicher qui était le ou les coupables, les intrigues étaient assez bien construites. N’est que avec le tome 4 où j’ai trouvé l’intrigue plutôt ennuyeuse. La relation entre Joséphine et Jérôme, couple pivot de la série, bien que fort marquée par des répétitions, est assez légère et moderne que pour la suivre avec plaisir sans être freiné ou rebuté par un trop plein de romance, de clichés (il y en a mais ça reste fort léger en comparaison des codes du genre!) et le ton moderne du récit et avant gardiste au vu de la période choisie pour le décor, rend le tout hyper agréable à lire. Parce que le genre de la romance, en général c’est très peu pour moi, et les romans cosy à la mode en ce moment ont l’air de beaucoup surfer sur une absence d’originalité, de fond, et de nourrir plus que jamais de gros clichés redondants. Bref, peu s’affranchissent finalement des codes du genre, sauf ici où il y a cette volonté, avec une vraie personnalité dans le style d’écriture et ses personnages. Maintenant que je sais que le tome 7 est sur le point de sortir, je vais le demander au Père Noël 🎅 🤶
Une fois ces livres-là terminés, j’en ai profité pour rebondir de suite sur la saga Hunger Games dont j’avais commencé la relecture quelques temps plus tôt. Déjà très fan de ces livres jeune, en tant qu’adulte, ils me plaisent toujours autant. Pour une dystopie jeunesse, l’autrice évite habillement tous les écueils du genre à savoir parfois des incohérences dans les univers, des romances qui s’articulent autour d’un triangle amoureux qui vient phacogyter tout le récit, souvent une héroïne très rapidement obnibulée par cet impératif de devoir choisir entre deux prétendants (qui vont faire que se becter entre eux) et moins par le reste 😅 Ici, les trois tomes sont en cohérence du début à la fin et surtout, tout n’est pas tout noir ou tout blanc pour chacun des personnages, les romans explorent habillement les traumatismes, la manipulation des masses, l’objectification puis la mise au rebut après usage des figures-clés des mouvements une fois qu’on a obtenu ce qu’on voulait d’eux. Le triangle amoureux n’en est pas un contrairement à ce qu’on pourrait croire, au contraire il repose davantage sur les liens de securité/survie que de réels sentiments, c’est également très intéressant de suivre cet aspect là au travers de Katniss/Peeta/Gale où tout pareil, tout n’est pas noir ou blanc dans leurs relations. L’action est rondement menée, le rythme bien équilibré et les réflexion posée aux travers des personnages pertinentes et éclairantes sur nos sociétés. La série dénonce bien des choses qu’on malheureusement et comme bien trop souvent, on ignore et tombe dans les mêmes travers décriés par l’autrice, c’est affolant et triste.
Définitivement l’une de mes séries préférées!
Je suis présentement en train de lire le préquel qui s’articule autour de l’ascension de Snow, jeune, et des améliorations qu’on cherche à apporter aux Hunger games qui, à son époque, ne passionnaient pas autant les foules de Panem que dans la trilogie initiale et on découvre l’envers de tout ce décorum aussi bien chez les habitants du Capitole qui n’ont pas été épargné par les restrictions de la guerre et de ses traumatismes, que chez les personnes moissonnées pour les Hunger Games. Deux “camps” tout les deux ayant soufferts mais pas du tout le même traitement ni le même regard sur la guerre passée. Intéressant et pas du tout le même mood que la trilogie mais j’aime bien pour l’instant même si c’est assez étrange de suivre Snow au regard du bonhomme détestable qu’il est devenu 😅
Enfin, j’ai tout de même lu un one shot parmi ces séries, à savoir le dernier Michel Bussi, Les Ombres du monde. Alors je vous le dit tout de suite: je ne suis pas du tout une fan de l’auteur. J’avais adoré Nymphéas noirs, qui était, je pense, son premier roman, et franchement, pas beaucoup tout ce qu’il a écrit par la suite. Et j’ai détesté les derniers parus. Donc autant vous dire que si j’ai craqué pour son dernier livre paru, c’est pour son sujet, si peu traité, si peu connu en réalité: le génocide du Rwanda. Et parce que les avis allaient dans le bon sens, au lieu de répéter la même chose pour chacun de ses romans sorti avant, le contenu des avis changeait, mettait l’accent sur la restitution crédible des faits, la narration et le respect de son sujet au lieu de répetter bêtement l’éternelle phrase “voici le page turner de l’été plein de mystère et d’exostisme de Michel Bussi”. Et je suis bien d’accord, ici on a un roman fort sur le génocide des Tutsi par les Huttus avec la complicité de la France et le silence assourdissant de l’international. Rien n’est simple mais la reconstitution, les théories, les liens sont bien restitutés, l’attitude coloniale décriée (et ce point est important, vu que le roman est de base écrit par une personne blanche non concernée par les faits). La narration est fluide, les timeline claires et pas trop nombreuses pour éviter de s’y perdre, les effets “Bussi” qui reflètent sa patte sont assez légers au regard de ses précédents romans et cela permet à son roman de rester plutôt terre à terre, vu la gravité du sujet, c’est à la fois souhaitable et beaucoup plus digeste à lire pour le coup. Seules les parties sur les gorilles sont…assez particulières mais comme elles ne phacogytent pas le récit ni ne cassent son intérêt, c’est pas difficile de passer au-dessus. Je le relirais très certainement à l’avenir, et pas qu’une fois je pense. A avoir dans sa bibliothèque (emprunté à la mienne, je note de me le procurer quand il sortira au format poche, parce que la couverture ultra viellote du grand format, c’est non merci 😅😂)
Un vrai coup de coeur 2025
Pour terminer, j’ai également lu et pas du tout aimé un comics, le premier tome de ce qui sera une trilogie: Clementine. Ceux qui auront joué aux jeux vidéo narratifs The Walking Dead sauront mieux qui est ce personnage et je pense que ce n’est pas plus mal d’y avoir joué pour mieux comprendre, et surtout l’imaginer, le passif de Clémentine. Comme dit tout de go, je n’ai pas aimé. Le dessin oscille entre quelques belles cases et d’autres pratiquement, à mes yeux, illsibles à tel point que j’ai plusieurs fois fait des allers-retours pour parvenir à comprendre, distringuer l’action dépeinte. On ne peut pas dire que ce genre de fonctionnement peut rendre la lecture agréable et fluide. Je n’ai également pas aimé le scénario somme tout très basique et assez étrange, un peu sans queue ni tête , c’est fort peu inspiré et plutôt brouillon, je ne sais pas comment la suite va se présenter mais ça démarre fort mal ici. Enfin, au contraire du ressenti avec les jeux vidéo, je n’ai eu aucun attachement pour personne, faute de développement un tant soit peu intéressant pour l’une d’elles, comme les personnages sont presqu’exclusivement féminins, ni d’intérêt pour les rares enjeux qu’il y a eu (recréer un environnement sécure, développer des relations amicales/amoureuses, le regard de l’adolescence et des perspectives d’avenir dans ce nouveau monde, …) tant soit ils sont mal amenés, soit mal développés. J’ai vraiment regretté cette lecture que j’ai vécue comme une perte de temps. C’est rude mais c’est ce que je ressens 😅
Une vraie déception…
Olalala que j’ai pas chômé coté loisirs avec les lectures déjà mais aussi du coté des séries et jeux vidéo !
📺 Coté télévision: on avait arrêté de regarder The Flash, enfin moi j’ai stoppé, mon compagnon a encore continué sur une saison, je ne sais plus laquelle, mais en tout cas, ni l’un ni l’autre n’a voullu aller jusqu’au bout du truc finalement 😆🫠 J’avais entrepris de recommencer le visionnage de la saison 1 de La chronique des Bridgerton mais je ne sais pas, je trouve que ce n’est plus la même hype que quand c’est sorti et je ne suis pas du tout fan du montage, le rythme est assez particulier. Je retenterais certainement car je n’ai jamais vu les saisons suivantes donc c’était l’occasion de les regarder sans trop d’attente entre deux saisons et j’aime beaucoup le jeu de certains acteurices dedans.
Ensemble, on a repris le visionnage debut le début de la série Dexter, on a regardé les trois premières saisons et décidé de ne pas aller plus loin. Honnêtement, c’est une série dont j’aimais bien la première (surtout!) et la seconde saison, moins le reste. La première j’adorais l’ambiance, les images avec leur gros grain, les couleurs saturées, et la chasse Dexter/le tueur au frigo (je ne sais plus le nom qui lui était attribué), c’était plutôt bien ficelé même si bon, on va pas se mentir, il y avait des trucs gros et cons, mais le résultat général était bien. Mais globalement, ce qui me pelait dans Dexter, ce sont les fins de saisons qui sont à rallonge, ça tire sur toutes les ficelles possibles pour faire durer superficiellement un suspense déjà éventé pendant deux ou trois longs et inutiles épisodes et la saison 3 accumulait les perles d’incohérences et foirait grossièrement le développement des personnages secondaires, tout en tirant trop en longueur. Ca ne donnait pas du tout l’envie de poursuivre, d’où le fait qu’on aie arrêté les frais 🙄 On se lassera par contre bien tenter par le spinoff-là, sur l’enfance de Dexter, ça a l’air pas mal 😁 Car ce qui fait surtout le sel de Dexter, c’est le développement du personnages, ses réflexions, son manque de recul parfois ou au contraire, sa prise de recul et ce genre de choses, le reste bof, la faute à un développement et une qualité d’écriture du coup très moyens.
Et parce que c’est la méga hype du moment et qu’on a cinq ou six ans je ne sais plus, de retard dessus, on a repris également Stranger Things depuis ses début. Je ne crois qu’on n’avait pas été plus loin que la saison 3 ? Ca remonte tellement que je ne sais même pas dire quelle saison a été la dernière vue 😆 J’espère qu’on kiffera et gardera la motivation de suivre la série jusqu’au tout dernier épisode et que sa conclusion sera satisfaisante et pas un truc pourri comme les films Netflix, vous savez là, leurs fins sans fin 🙄😅
🎮 Coté jeux vidéo: je me suis regalée ces derniers temps ✨️
J’ai refait l’un de mes jeux vidéo préférés au monde: The legend of Zelda: Skyward Sword. Je ne suis pas une fan absolue de la licence Zelda mais c’est une licence que je suis de près depuis des années et je suis particulièrement fan des titres sortis sur console de salon, à savoir les Twilight Princess/Skyward Sword/Windwaker ont une place toute particulière dans mon coeur 💖 Je le suis moins des versions portable mais j’ai beaucoup apprécié certains d’entre eux tels que Minish Cap, Phantom Hourglass, et ai été déçue par Breath of the wild, ça ça a été une gifle. Non pas à cause de sa direction artistique ou de son scénario, mais rolalala que c’est trop vide et trop répétitif du coté du bestiaire et des choses à faire, vreument, c’était l’abus. Mais je ne suis pas là pour vous parler de celui-là ! Revenons-en à Skyward Sword que j’ai refait donc sur la Switch dont avec une manette traditionnelle en mains si je puis dire, qui diffère du système de joycon de l’époque de la wii, et je préfère largement cette façon de faire, une fois qu’on s’est familiarisé avec les raccourcis touche, ça va tout seul pour y jouer 😁 Et quel jeu! Je le trouve toujours autant d’années après sa sortie envoutant, beau avec sa direction artistique colorée et chaude, plein de douceur et aux différents milieux et donjons globalement chouettes à faire coté exploration/défis sans entraîner de lassitude. L’OST est fabuleuse, elle me transporte, me touche, entraine sans problème dans l’émotion du moment dans le jeu. C’est une des plus réussies à mes oreilles 🥰 C’est littéralement un de mes jeux d’aventure préféré, d’une beauté qui n’a pas vieilli en passant par des mécanismes de jeu toujours aussi efficaces avec l’intronisation d’une jauge d’endurance d’ailleurs, et doté d’une balance donjon/exploration/action très bien équilibrée. D’aucun trouvaient l’exploration à dos de céléstrier trop vide, au contraire, je trouve que c’est pile poil ce qu’il faut sans se farcir des trajets trop long et que je les adore ces oiseaux 🤩
Bref, kiff absolu, et si vous n’y avez jamais joué, ou même jamais touché à un Zelda de votre vie, foncez, car par la même occasion et si je ne raconte pas de bêtise, le titre aborde la génèse de l’histoire de la Triforce donc en somme, les bases de tout l’univers de The legend of Zelda 😉 Vous ferez d’une pierre deux coups! 😎
Ahhh les épreuves de l’Elu m’auront moins rendu chèvre cette fois-ci, avec l’âge vient la patience et la méthodologie xD
Par la suite, j’ai acheté en promotion et sur Switch toujours, ça a son importance pour le coup, Cozy Grove. Et bien, j’aurais dû m’abstenir. Non pas que le jeu soit mauvais, loin de là. Il a l’air super chouette, du genre réellement cozy et sans trop d’engagement dans le sens où on peut se contenter de faire ses petites missions du jour et quitter la partie pour partir sur un autre jeu ou faire autre chose, et y revenir le lendemain et ainsi de suite. A priori, à ce rythmelà, on peut avoir pour un an de jouabilité quotidienne car des missions se débloquent au fur et à mesure et d’autres arrivent quelques jours après la fin d’une action, et ainsi de suite. Entre deux, je pense qu’à part un peu de crafting, il n’y a rien de bien spécial à faire. Il est très mignon, visuellement original mais fort chargé par contre, et c’est là que ça devient problématique, en tout cas sur la Switch. J’ai rapidement constaté des ralentissement, surtout quand une cinématique se lance ou la zone s’aggrandit ou bien encore quand il y a plusieurs élements en action à l’écran. Dieu que c’était pénible à la fin, au début je me disais “ok, ce n’est pas bien grave, ce n’est pas un jeu d’action donc ça ne gêne pas vraiment”. Ben force est de constater que si au bout du compte 🫣 A priori, le problème ne se rencontre pas sur la PS4. Ceci me pèle un peu les fesses, je le ressens comme un gaspillage et une frustration de ne pas y jouer parce qu’il était vraiment agréable, facile à prendre en main, les musiques sont vraiment jolies et relaxantes, la direction artistique me parle beaucoup, le tout dessiné à la main rend le jeu vraiment très beau et avec beaucoup de personnalité et enfin, l’aspect un peu journalier du titre m’attirait pour de minisession détente. On verra ce qu’il en sera si j’y rejoue quand je passerais sur la Switch 2 (et s’il est compatible), affaire à suivre. Mais n’hésitez pas si vous cherchez un jeu de gestion plutôt chill mais pas trop enfantin non plus, sans trop avoir à s’investir dedans ET sur une autre console que la switch, faites pas comme moi 🤣 et achetez-le sur PC ou une autre console.
J’ai fait une pause en rejouant à l’excellent Hercule sur PS1 sur émulateur. Oui, pas bien mais on fait comment sans le jeu ni la console hein 🤷♀️. C’est indémodable, toujours aussi efficace coté ménaniques de jeu et plaisir d’y jouer, si vous avez la nostalgie des jeux PS1, surtout les Disney vu qu’il y en avait un petit paquet, ne tergiversez plus et foncez l’émuler ou ressortez votre fidèle PS1 🎮
Pour l’instant, je jongle entre deux jeux: Lost in Random, acheté pour la modique somme de 5 euros sur Switch, et Until Dawn sur la PS4. Quel kiff ces deux titres, j’y reviendrais une fois terminé mais rah, je savoue et je suis contente ces derniers temps de garder cette envie de jouer. Je l’ai perdue pendant des années, trop de choix, trop pas l’envie, trop de soucis, et là depuis plusieurs semaines, je crois que je n’ai jamais été aussi “active” dans ce loisir, et ça me fait immensément plaisir que je regarde derrière moi, toutes ces années à jouer, faire des titres myhtiques et puis le désert. Retrouver ces sensations m’apporte beaucoup et j’espère que cela va se maintenir dans le temps 🤗
Dix ans après l’avoir fait une première fois, on a fait mieux et découvert de nouveaux éléments! (non jouable à 2 mais on s’est partagé les décisions, l’un jouait, l’autre regardait
Oufti dit, il y avait beaucoup à dire, d’où quand même la nécessité de publier plus souvent pour fractionner le contenu 🫢 Faut que je m’améliore de ce coté! J’espère que tu as su aller jusqu’au bout, sinon t’inquiète, je ne t’en voudrais pas 🤪 Et je vais m’arrêter là, je te dis à bientôt ? ✨️
N’hésite pas à me faire part de ton avis sur les séries/JV/lectures abordées et à me donner ton avis sur tes dernières lectures, jeux et séries regardées 🤗
Voilà aujourd’hui 8 mois que mon diabète s’est déclaré et que c’est notre premier automne qu’on va passer ensemble. 🍁
Après un été plutôt bien géré même si je me suis prise des claques du côté de l’accompagnement qui est proche du néant en ce qui concerne la prévention au titre d’excuse que le diabète se vit individuellement (mais n’empêche pas pour autant de partager les points d’attention plutôt sensibles pour une meilleure surveillance comme l’impact de la chaleur sur les glycémies par exemple, que j’ignorais, ou des règles, ou encore de faire attention +++ aux blessures et j’en passe), d’autres claques dans le rapport du personnel du dispensaire avec les patient.e.s , c’est à dire très froid et sans humanité, pour moi en tout cas: je me suis fait faire sermonner sans ambages en allant chercher après des bandelettes pour la prise de glycémie au doigt, sans savoir que c’était limité par périodes ou par an, je ne sais pas, et que je ne suis pas “censée” en utiliser puisque j’utilise des capteurs de glycémie en “direct” sauf qu’il faut vérifier au doigt en cas de doute, les premières heures, quand ça plante en cas de perte de signal, quand ça déconne tout court et eceterae.. Bref, quand les couilles dans le pâté s’enchaînaient avec les capteurs, les bandelettes étaient beaucoup utilisées à la place pour faire les vérifications, et se faire taper sur les doigts pour ça alors que c’est sur recommandations de l’équipe de diabétologie et du fabricant des capteurs, et que je ne suis pas responsable des dysfonctionnement des capteurs, ça fait mal, et vous fait sentir comme une grosse 💩 indésirable en ces lieux… pour au final quand même recevoir des boites de bandelettes prises en charge bien malgré que j’aie proposé de les payer.
Tout ça, pour ça lol, merci pour ce moment 🤡
Egalement et de façon incompréhensible, par deux fois, l’infirmière ne s’adresse QUE à mon compagnon et m’efface totalement de son champ de vision! La seconde fois, je lui dit haut et fort que je suis là et qu’elle peut s’adresse à moi… Je vous laisse deviner le vent… Aux deux fois où on s’est rendu ensemble au dispensaire, l’accueil était vraiment très froid, limite si on ne les embêtait pas à se trouver là, et c’était tendu…
Depuis peu sur le FreeStyle Libre 3 Plus, le même genre de problème se présente…
La confiance en l’hôpital n’était déjà pas très grande mais là, pfiou elle s’est évaporée en un clin d’œil mais je n’ai pas d’autre endroit où aller où ça pourrait potentiellement être mieux pour l’instant. Je verrais avec le temps ce que ça donnera…
Quand à mon diabète, visiblement ce n’est pas un diabète de type 1 auto-immun car mes anticorps sont revenus négatifs donc c’est reparti pour un tour de manège supplémentaire pour découvrir ce que c’est, soit un type MODY (et il en existe un paquet) ou un diabète mitochondrial, ce sont des diabètes génétiques et rares, où il y a plusieurs “profils” (production d’insuline, glycémie plutôt stable, grandes varitations ou pas, eceterae, mais où on reste quoiqu’il arrive diabétique, ça ne change rien à la condition si ce n’est que ce n’est pas un problème d’immunité donc ça pourrait changer la donne du côté des traitements car certaines de ces formes de diabète peuvent reposer sur un traitement qui mixe par exemple l’insuline lente et des cachets hypoglycémiants à la place de l’insuline rapide. Pour l’instant donc, deux mois après avoir fait les tests génétiques, je suis toujours dans l’attente des résultats 🤙
Du reste, l’été n’a pas trop mis à rude épreuve mes glycémies, elles sont restées un peu plus hautes à cause d’inactivité parfois, c’était plus difficile à déterminer si je devais réduire ou garder les doses et d’adapter les efforts avec la chaleur et les repas également, ca a demandé quelques semaines d’observations intenses mais elles se sont globalement bien passées. C’est incroyable le nombre de choses auxquelles il faut tenir compte pour évaluer la dose d’insuline à apporter: glucides, l’activité à venir, la chaleur, plat légers ou gras, peu ou avec glucides, leur nombre si on arrive à évaluer à la louche la dose correspondante, … Les imprévus comme une inactivité alors qu’une sortie était prévue par exemple se traduisaient par une hyperglycémie en suspension pendant un temps, à plat équivalent avec de l’activité, je pouvais rester dans la cible. C’est réellement un apprentissage et une veille en continu 🫨
J’ai encore du mal à faire entièrement confiance aux capteurs de lecture de glucose en continu. Par défaut, je ne leur ferais jamais entièrement confiance mais je dois les voir comme une aide pratique. Le soucis, c’est la notice tient en trois ligne et le service de diabétologie ne donne aucun tips pour un bon usage, mais “sait” quand on demande si oui ou non telle ou telle chose influe sur l’efficacité du capteur 😅 Au final, le forum Reddit m’a été d’une grande aide pour comprendre comment BIEN utiliser le capteur et pourquoi chez certain.e.s ça n’allait pas! Il y a tant de chose à tenir compte pour un bon usage comme son emplacement, le pH de la peau, la tolérance aux enzymes qui enrobent l’aiguille, le laisser poser sans l’activer au moins 12h avant, et j’en passe. J’avais souvent des corrections des mesures qui me rendaient folles, avec des données qui disparaissent et des pertes de signal en cas de montée et descente rapide de la glycémie, c’est via Reddit que j’ai eu des explications, je vous en mets quelques-unes en capture d’écran et je vous invite à retourner les forums US sur les capteurs Freestyle et Dexcom, c’est une vraie mine d’or d’informations pour savoir bien l’installer et l’utiliser, et enfin de comprendre ce qui ne va pas!
Car aussi si j’ai fait des recherches, c’est parce qu’également, j’ai eu des capteurs FreeStyle Libre 3 qui lâchaient au bout d’un moment voire d’entrée de jeu, j’ai eu une période sur presque tous le mois de juin où c’était la folie avec des fausses hypoglycémies en journée et la nuit sans qu’il y ait compression et qui ne remontaient pas, marquant alors de gros écarts avec le doigts et aucune variatation avec les repas, ce qui entraînait des changements précoces de capteurs, devoir demander des modèles de remplacement, se justifier, stresser pour que le nouveau fonctionne, essayer de gratter des minutes de sommeil de ci, de là et surtout, ne pas mourir d’une crise cardiaque au moindre bip sonore même pour des bruits qui n’avaient rien à voir avec le capteur. Mon amoureux lui aussi commençait à surréagir à la moindre alarme, tellement on en a été inondé de ce bruit! ça a rendu les sorties et balades hyper angoissantes 🫠 J’avais du coup envisagé de passer sous Dexcom pour finalement rester sur FS3 pour sa taille et sa précision malgré l’absence de possibilité de le calibrer au cas où (on rentre dans le système la valeur au doigt pour que ce dernier s’ajuste dessus en cas de grosses différences par exemple), et des fois je peux avoir quelques chouettes semaines tranquille de ce coté, et d’autes ça foire sans plus d’explication comme hier, où mon FS3 plus a “plongé” pour ne pas remonter dans ses valeurs, après avoir commencé à perdre le nord avec les flèches de tendance 24h avant et enregistré plusieurs chutes de courbes avant de les corriger, la dernière en date m’a fait passer de 160 à… 68 alors que ma gly n’a pas bougé en la vérifiant en dextro (au sang par piqûre au doigt) sur toute une plage de temps 😅
Maintenant je suis plus sereine et patiente, et surtout ça m’a permis de lâcher prise et savoir attendre voir, parce que les montées et descentes de ma glycémie me pourrissaient vraiment les promenades avec mes chiens, entraînant aussi une grosse culpabilité vis à vis d’eux à écourter ces moments, maintenant j’arrive mieux à savoir quand c’est vraiment OK, à comprendre quel est le moment idéal sous insuline pour bouger et quels sont les facteurs qui affectent vraiment ma glycémie à l’instant T.
Ce que je regrette une fois de plus, c’est de découvrir cela seule, à la “dure”. Etre quelqu’un qui surveille et tend à anticiper m’évite sûrement des moments traumatisants, mais n’empêche pas pour autant ces instants d’être angoissants ni de faire (re)naître des périodes de grosse anxiété. Cela tranche fort avec le discours du “on ne vous lâche pas dans la nature” alors que si, puisqu’au final, je n’ai aucune prévention, ni conseil, ni explication ni discussion autour du diabète, de ma vie, de mes courbes. Je me sens très seule, bien que privilégiée en un sens dans ma situation et n’ose imaginer les traumas vécus par des personnes actives non informées et autres. J’ai besoin de me sentir en confiance et entourée, alors comme ce n’est pas le cas, ce n’est pas très agréable à vivre et je ne suis pratiquement plus pressée de mettre les pieds à l’hôpital 😅
Ce qui vient s’ajouter au diabète ces derniers temps, ce sont les cauchemars. Cauchemars liés à la glycémie qui tournent en boucle, l’impression d’entendre l’alarme alors qu’il n’y a qu’un silence de mort dans la nuit. Même mes accouphènes se font l’écho du bruit de l’alarme du capteur, c’est très déroutant quand elles arrivent 😅 Les cauchemars d’ailleurs ont tendance à revenir quand il y a des problèmes avec les capteurs, en dehors de ces périodes, les nuits sont plus calmes mentalement parlant…
Enfin, pour en arriver à maintenant: le début de l’automne s’est plutôt bien passé, c’est davantage quand il y a eu de grosses chutes de températures que j’ai pu découvrir bien malgré moi que ça pouvait entraîner des hypoglycémies et possiblement, des hyperglycémies, mes courbes font davantage le yoyo et il faut les décoder 😅
Et c’est par hasard avec un post facebook anglais sur le diabète que j’ai découvert l’impact du froid et les petits gestes à avoir pour surveiller et faire vérifier sa glycémie et que faire au mieux pour que ça se passe bien. Vu qu’on alterne en ce moment entre le chaud et le froid, ce n’est pas encore évident d’y voir clair mais les habitudes viendront avec le temps, en tout cas, je sors désormais bien couverte sous dix degrés et je ne m’attarde pas trop dehors si on est proche des zéros 🤣
Ce qui va être intéressant (lol, façon de parler, on s’en passerait bien 😆) ce sera d’apprendre à jauger les repas qui seront plus gras de type raclette et consorts 😅 J’espère que cette entrée dans l’hiver se fera sans trop de turbulence et que la suite également comme on parie sur un hiver plutot rude et précoce cette année… 🤞(l’année dernière, il a fait quasiment doux en comparaison, et très pluvieux, on a déjà là des températures proches de zéro ce qu’on n’avait pas vu avant janvier 🤯)
Je clotûre là cette publication avant d’aller plus loin au risque que ca fasse trop long à lire. Vous l’aurez compris je pense, je suis toujours en train d’observer et de découvrir des choses sur mon diabète, l’impact de plusieurs choses sur les courbes, les changements entrainés par le diabète sur mon organisme (surtout les règles, une horreur…). Enfin vu que ce sont que les premiers mois de cohabitation, c’est fascinant et fatiguant à la fois d’observer tout ça, mais le seul vrai gros regret là-dedans: c’est cette solitude ressentie du coté médical et de l’accompagnement. En fonction de l’évolution de cette dernière, je prendrais la décision ou non de renouveller ma convention diabète (qui dure un an renouvelable) au sein de l’hoîtal où je suis suivie.
J’envisage pour la prochaine publication de revenir sur les ressources que j’ai lu, visionnée ou écouté sur le diabète que j’ai trouvé chouette, intéressantes et surtout pas à risque de TCA et autres au vu des conseils assez dangereux tout de même prodigués sur le net et les réseaux sociaux quand ce n’est pas par les professionnels eux-mêmes. J’espère que ça vous intéressera 🙂
Là-dessus, je vous embrasse et vous souhaite de passer entre les gouttes des microbes de saison et de profiter de cette belle période propice au cocooning et balades enchantées sous les feuilles de toutes les couleurs d’automne 🫶✨️
Hello! Nous voilà pile à la mi-septembre, un pied dans l’été, toujours, et un autre dans l’automne, qui pointe tout doucement le bout de son nez. J’adore cet entre-deux entre fraicheur, luminosité douce et couleurs qui commencent à prendre de belles teintes jaunes à orangées. Les balades se font plus agréables, moins étouffantes, les nuits plus douces, la fatigue de changement de saison s’installe, on ralenti petit à petit.. Oh oui, j’adore ce changement de rythme à tous les niveaux 🍂
C’est l’occasion enfin de sortir les citrouilles et déco d’automne 🍁🎃
Je n’ai plus fait de puzzles ni spécialement regardé de séries télé depuis le dernier billet, l’envie n’était pas spécialement là pour l’un comme pour l’autre, bien que j’aie repris Bridgerton, que j’avais vu à l’époque de sa sortie (et pas vu les saisons suivantes) et le niveau de hype n’est plus le même 😂 On a abandonné Flash, mon compagnon avait pris de l’avance et terminé une saison entière sans moi mais ce n’était pas bien grave, l’un comme pour l’autre, on n’avait pas envie de continuer l’aventure et de suivre les dernières saisons de la série qui, pour moi, ne retrouvait jamais l’équilibre aventure/drame/famillial des deux premières saisons, et je n’étais pas spécialement fan des nouveaux personnages introduits. L’idée même des crossover qui se multiplieraient et des références à coté desquelles je serais passée puisque je ne suis aucune des autres séries DC à coté a été l’élement décissionnel dans cette absence d’envie de poursuivre la série..
A la place, j’ai joué davantage à la console, et lu beaucoup plus 📚 Choisir une activité, c’est renoncer à une autre et ça permet de faire des pauses pour mieux y revenir 😁
🎮 Coté jeux : j’ai repris un peu en main la switch et parcouru ma longue liste de souhait dans les titres indés, je profite de promos pour les acheter au fur et à mesure ˆˆ
J’ai craqué ces dernières semaines tour à tour sur :
🩳 Down in bermuda: un court jeu d’exploration façon point’n click sans plus d’intérêt que ça, on suit un gus qui s’est échoué sur une île et qui essaye genre 40 ans après de s’en barrer, je ne sais même plus l’histoire tellement c’est sans intérêt, le support switch ne se prête pas bien au titre, c’est difficile de bien appuyer, faire pivoter, déplacer des choses puisqu’on ne fait que ça un peu au hasard. C’aurait été mieux sur PC avec une souris. Je ne l’ai pas terminé, j’y reviendrais à l’occasion et je suis contente de ne pas l’avoir payé plein pot 🫣
👩🌾 Rune Factory 4 : j’avais toujours entendu du bien à propos de ce titre de la série des Rune Factory et Harvest moon, beaucoup semblaient le considérer comme le meilleur titre, du coup à 5 euros au moment de sa promotion, j’en ai profité pour le découvrir et définitivement, les jeux de type Rune n’arrivent pas à m’accrocher. Je trouve ça lent et aux dialogues bateau, je ne saurais l’expliquer mieux que ca mais la facon de cultiver et de discuter avec les gens ne m’attire pas du tout, je pense que du coup, ce sera la dernière fois que je tenterais un titre de cette série puisqu’à chaque fois, la sauce n’a jamais pris. Mais, en mettant de coté le manque d’intérêt pour moi pour cette licence, je dois reconnaitre que graphiquement, ce titre était plutôt joli et les bruitages ainsi que la bande-son assez réussis.
🎇 Rituals of Raven: après avoir parcouru des reviews enthousiastes sur ce titre indie exclusivement développé par une équipe féminine, et avec l’envie encore de parvenir à trouver un jeu de gestion/simulation qui me plaise, j’ai craqué sur Rituals of Raven plein pot, une quizaine d’euros pour facilement plusieurs heures de jeu, ce n’était pas cher payé, d’autant plus que globalement, le titre est assez réussi. La narration est travaillée, la direction artistique est originale, à tel point qu’elle ne plaira forcément pas à toustes, il y a un énorme effort d’inclusivité jusque dans les dialogues, et enfin, le gameplay est pour le moins original.
Le jeu se base sur un systeme de gestion où vous déléguerez vos tâches à des golems via un systeme de deck que vous allez optimiser. Si vous êtes une habitué.e du code, de l’optimisation et doté d’une bonne mémoire surtout, vous allez adorer ce jeu je pense!
Une fois le système pris en main, vous vous départagerez entre minage, agriculture, collections d’objet, croissement de plantes et diverses choses que vous demanderons vos amix dans le titre pour avancer dans la quête principale et les multiples quêtes annexes. Au premier abord, le jeu se veut très cosy, avec une bonne palette de personnalisation, une bande son douce et un univers assez mim’s mais pas neuneu pour autant. Il m’a fallu un petit moment pour me familiariser avec le gameplay, d’autant plus que tout ne se débloque pas rapidement et ce n’est qu’au fil des heures qu’on accède à de nouvelles cartes qui vont venir simplifier l’automatisation des récoltes et l’accès à de nouvelles zones.
Mais, après quelques sessions de jeu, j’ai commencé à sentir des limites au plaisir, ça commençait pour moi à devenir trop ardu de gérer les cultures, de tenir compte de la lune, de regarder pour optimiser au mieux la gestion par zones et etc, à tel point que j’en ai perdu le plaisir de jouer et que je pense que c’est typiquement le genre de titre qui plaira avant tout aux mordus du genre gestion et qui voudraient sortir du cadre tout mignon par exemple des Harvest Moon pour tester une autre façon de simuler la gestion de l’agriculture (la partie sociabilité et pécunière est très secondaire ici, voire inexistante dans le sens où ça n’a d’impact sur les relations entre les personnages et le développement de votre “affaire”). Je l’ai mis de coté, peut-être que je le referais à l’occasion depuis le début en faisant mieux les choses je pense, parce que ce n’est également pas non plus le genre de titre qu’on peut mettre en pause et y revenir x temps plus tard sans s’y sentir paumé 🙃
🐵 Gibbon: beyond the trees: une fois de plus, j’ai profité d’une promotion pour acheter ce titre des studios Broken rules dont j’avais adoré Old Man Journey, un puzzle-game attachant et très beau 🧩. Titre engagé, Gibbon: beyond the trees vous met dans la peau d’un gibbon, une espèce menacée de singe en Asie, tour à tour avec sa famille puis chassé de son habitat naturel, braconné et séparé de sa famille 🐒. Sans paroles, on passe une à deux heures en fait à se balancer de branches en branche, de toit en toit à travers d’une série de tableaux qui dépeigne l’habitat naturel au fur et à mesuré dévoyé par l’homme et les machines. J’ai trouvé ça hypnotisant de se balancer, réussir ses sauts, je n’ai pas vu l’heure passer mais en dehors de ça, le titre ne m’aura pas laissé une empreinte marquante. Je ne me suis pas sentie plus que cela sensibilisée à la cause, enfin pas plus que je ne le suis déjà de manière générale en faveur des animaux et de la nature, ni prise par ce qui était montré dans les divers tableaux à cause justement du gameplay qui occulte tout le reste car il est difficile de s’attarder sur les détails et c’aurait été plus intéressant du coup de faire un court jeu davantage nattarif et interactif qu’une course rapide à travers les arbres où on est plus concentré.e à réussir ses sauts qu’à faire attention au reste. Dommage, car j’aime beaucoup les studios qui, d’une manière ou d’une autre, se servent du support du jeu vidéo pour sensibiliser à une cause et sortir du simple divertissement, en devenant un médium d’expérimentation ou de sensibilisation. L’expérimentation est là, mais on passe à coté de la sensibilisation pour moi 🙈
Des jeux finalement en demi-teinte, après avoir été plus qu’agreablement surprise par des titres comme Old manjourney ou Spiritfarer, ces derniers titres rejoignent le cimetière des jeux moyennements appréciés ou à recommencer un jour, en compagnie de The last campfire, Arranger, Bloom Town. J’ai Paper Trail aussi que j’avais bien aimé mais mis en pause, il faudrait que je le relance pour le terminer ☺️
J’hésite fort entre réinstaller la ps4 et (re)faire un RPG dessus, j’en ai plusieurs qui m’attendent dont le remake de Final Fantasy 7 remake qui me fait de l’oeil, acheter des titres Mario à faire sur la switch parce que ça fait un bail que je n’en avait plus fait un et que le genre plateforme me manque fort ou de craquer sur un autre titre indé, Moonstone Island me fait beaucoup de l’oeil, ou encore Tiny Bookshop qui a l’air super addictif. Je ne suis pas sortie de l’auberge avec tous ces choix et envies diamétralement opposées, et en plus plus j’ai de choix, moins j’arrive à me décider. Décidément, je suis vraiment un cas désespéré 😂
Du coup, coté lecture, j’ai été aussi productive ces dernières semaines, entre séries abandonnées en cour de chemin, one shot plaisant à lire, et addiction à un whodunit moderne, je vous fait le point sur tout ça ci-dessous 👇
🕵♀️ La demoiselle et le mousquetaire: je suis à fond dans la série de cinq ou six volumes (ou plus) La demoiselle et le mousquetaire de S.D Fischer, ce sont des whodunits qui se déroulent au 17ème siècle en France, c’est frais, moderne dans le propos, légèrement romantique sans que cela n’empiète sur l’aspect enquête de chaque tome, j’en suis au troisième et jusqu’à présent, je me suis prise au jeu à chaque fois de découvrir la personne coupable du crime qui semble n’arrive qu’en présence de Joséphine et du comte, couple à en devenir (on n’est pas aveugles 👀) qui bute sur la différence de classe sociale et les codes de la société. C’est gentiment piquant et divertissant, avec une plume fluide qui ne se perd ni en longeur ni en digressions inutiles, et l’autrice semble vraiment attachée à ses personnages qu’elle fait évoluer au fil des tomes, à petite dose, en apportant à chaque fois un nouveau décor, et de nouvelles relations. Bref, jusqu’à présent j’adore, ça change de d’habitude!
Source image : Babelio
👑 La reine traiteresse: la série de livres citée ci-dessus fait d’ailleurs suite à l’abandon de la série Le pont des tempêtes. Vous vous rappelez que j’avais beaucoup aimé le premier tome malgré ses quelques faiblesses d’écriture, grâce notamment à un lore qui recelait de belles promesses pour la suite, une héroïne en proie à une dualité due à un savant lavage de cerveau, et d’un partenaire loin du cliché de l’homme viril obsédé par la chair. J’ai lu le second tome, dont j’avais beaucoup aimé les débuts où on faisait enfin connaissance avec le passé de Lara par l’apparition de ses soeurs, ce qui levait le voile sur plusieurs chosées passées à la trappe dans le premier volume, et sur l’emprisonnement de Aren avec une bonne part de psychologie simple mais efficace et des antagonistes qui se dévoilent mieux. Avant que le tout ne soit tué dans l’oeuf et se conclue de façon expéditive, je n’ai pas compris ce procédé d’expédier et de releguer à nouveau au placard tous les personnages secondaires et de stopper net le dévelopement du lore puisque cette partie-là est une duologie, les tomes suivants s’axaient autour d’autres personnages, ce qui ne m’intéressait pas du tout au vu de la manière dont cette duologie se concluait 🤷♀️
Source image : Babelio
🐉Le petit guide de Miss Percy ou comment élever un dragon britannique: Sur cet abandon, j’avais enchainé sur une autre série, “le petit guide de Miss Percy ou comment élever un dragon britannique” qui me faisait de l’oeil depuis sa sortie. J’ai également déchanté et je n’ai pas attendu de le terminer pour arrêter mon avis, j’ai laché l’affaire avant les cent dernières pages.
Honnêtement, ce n’est pas une mauvaise lecture, le problème ne vient ni de l’histoire qui est originale, ni de l’approche agréablement féministe, qui met bien en valeur son héroïne somme toute banale au premier regard: effacée, soumise, gentille jusqu’à qu’une succession de petits événements la poussent à examiner sa vie autrement, non sans une certaine dose d’angoisse et d’audace parfois. J’ai beaucoup aimé Penny à qui il m’a été facile de m’identifier, étant une grande anxieuse et une people pleaser. C’est par ailleurs assez rare d’avoir ce genre de caractère dans les romans, avec autant de réalisme, à l’inverse des traits identiques mais forcésnou exagéré dans les comédies plutôt girly. le problème n’est pas de ce côté mais plutôt du rythme. C’est assez lent, ce qui aurait pu ne pas être un problème, mais c’est une lenteur qui dérange. Une sensation de marasme habite l’écriture, je ne l’ai pas sentie particulièrement vivante, habitée. Plutôt mécanique, et quand elle s’en écarte pour y mettre un semblant de pep’s avec les réflexion entre parenthèses ou les description, c’est long et souvent superflu et en incohérence avec le reste du style. J’ignore encore si je vais enchaîner sur la suite en espérant une évolution dans le style et le rythme, car au fond l’histoire est plutôt bien, Penny et le Pasteur forment un duo (ou plutot un trio avec la gouvernante) attachants, et Fitz, comment ne pas vouloir savoir de quelle manière il va évoluer ? Affaire à suivre…
Source image : Babelio
🧙♀️ La société très secrète des sorcières extraordinaires: et enfin, last but no least (ça s’écrit bien comme ça ? 😂), j’ai aussi lu ce petit cosy fantasy tout doux, qui se lit comme un bonbon, aux personnages ultra attachant, de l’humour qui fait mouche, une romance prévisible mais légère comme tout et une protagoniste principale racisée, chose plutôt rare à souligner, qui évolue par ailleurs en présence d’autres personnes racisées qui ne font pas de la figuration ou relegués à des rôles stéréotypés. Le livre est inclusif, moderne et très agréable à lire, un vrai bonbon! et c’était également le genre de roman dont j’aurais voulu des développement parallèles avec des suites, des spinoff et tout. Bon, ce n’est pas le cas et ça ne le sera sûrement pas, mais en tout cas, si vous cherchez une lecture douce, amusante, avec un pied dans la réalité, elle sera faite pour vous 🫶
Source image: Babelio
Et voilàààà, je vous le disais, je n’ai pas chômé même s’il y a eu plusieurs abandons (qui ne se sont pas fait en cinq minutes non plus hein!) cette pause TV m’a permis d’avancer dans plusieurs jeux et livres qui m’attendaient, je pense que je vais continuer sur ces médiums-là, je dois dire que coté TV la proportion de séries tv à (re)voir est tellement immense, et n’en parlons pas des films que j’ai totalement laissé à l’abandon ces dix dernières années 🫣, que ça me freine à mort de faire un choix. Comme je vous le disais, trop de choix tue la décision dans mon cas, et encore… j’ai la déception facile, ce que tout le monde peut adorer, moi ça peut vite me saouler ou me décevoir, du coup je me méfie de ce qui est à la “mode” aussi 😆
Mais si tu as des films, séries, livres, jeux à me faire découvrir, que tu as consommé dernièrement et adoré ou détesté, partage-moi aussi tes reviews de tes dernières semaines, qui sait que tu me feras découvrir des pépites 😜
La forme j’espère ? Avec la rentrée qui pointe le bout de son nez, j’espère que vous aurez passé un bel été et su prendre soin de vous avec ces chaleurs selon où vous vivez 🫶
Je prends un peu le temps de vous écrire ce qui a suivi le diagnostic de mon diabète en mars. Maintenant, ça fait déjà bientôt six mois, ce qui est peu et beaucoup à la fois 🌼
Je vous disais que j’avais de suite accepté la maladie, pour moi c’était ainsi, j’avais un traitement et voilà. La première semaine, j’ai dû me débrouiller avec les injections d’insuline, prendre ma glycémie 4x jours avant les repas et le coucher et me reposer au max car à une certaine glycémie, l’effort pouvait être dangereux (en hyperglycémie prolongée ou à partir de 2,5-3 mg/dL) car ça met le corps en situation d’acitétose, qui va produire des toxines qui vont venir fatiguer les organes et le corps en général. C’est pour cela que sans traitement, on s’épuise, et qu’on se dirige vers le coma et de possibles complications graves voire mortelles.
Même si on m’a expliqué la marche à suivre et dit qu’on n’allait pas me lâcher dans la nature, j’ai eu beaucoup d’anxiété à l’idée de mal faire, surdoser, oublier, mal piquer et surtout, je me suis rapidement rendue compte qu’au final, je n’avais vraiment pas beaucoup d’informations… Même si j’en ai plus que d’autres à qui on colle sans ménagement une pompe à insuline ou on donne des stylos à injection d’insuline sans plus d’explications sur le diabète, comment le faire et eceterae, j’avais en soi de la chance d’avoir un bon accompagnement, une équipe pluridisciplinaire, un numéro de téléphone pour poser des questions et des rdv assez rapprochés. Même si par la suite, je lui trouverais des failles à ce système, déjà à la base fort mis à bout par les politiques et la société.
Pour le premier rdv j’avais une consigne assez claire de me reposer, de ne plus manger sucré/gras, pas faire de sport. Jusque là OK, ça a été ainsi une semaine puisque j’ai eu un second rdv juste après pour le suivi, de là on constate une belle évolution de ma glycémie en pré-prandial (avant les repas) et on me parle de continuer comme ça pendant un mois avant de changer d’avis finalement, pour me passer sous capteur Freestyle libre 3 (disponible en Belgique) pour avoir une lecture en continu de ma glycémie et garder les données pour analyse lors des prochains rdv. On m’explique comment le mettre, à quoi ça sert et jusque là, je valide tout même si je suis un peu surprise de ce rétropédalage mais au final, ce n’est qu’un détail. On revoit mes doses d’insulines sur mon schéma, je reste aux stylos et j’ai un schéma de doses à injecter en fonction de ma glycémie AVANT les repas et si nécessaire, en cas de correction (si glycémie > à une certaine valeur 3h après la dernière injection) 💉
Tout un tiroir est dédié au diabète : aiguilles, stylos en cours d’utilisation, lancettes, capteurs… le tout bien visible pour anticiper au max et ne pas se retrouver en panne de capteur par exemple!
C’est avec un capteur au bras que je suis rentrée à la maison, ce petit dispositif tout discret mais qui très vite, va prendre beaucoup de place dans mon quotidien.🙈
Grâce au capteur, on peut donc suivre l’évolution de ma glycémie presque en direct 📈 il y a un léger décalage et davantage en cas de montée/descente du taux de glucose dans le sang, et de là on peut extraire comme données l’impact des aliments, de l’activité, de la santé et de diverses choses à l’instant T ou bien après sur la concentration du glucose. A charge de l’équipe de diabétologie d’analyser ça et d’adapter le traitement en conséquence. A ma charge avec le temps de comprendre les courbes et d’adapter mes doses en fonction d’autres éléments que le repas, ce que je comprendrais toute seule.
Bip bip
Depuis lors, ces 6 premiers mois de diabète n’ont pas été un long fleuve tranquille: je suis toujours aux stylos que j’utilise relativement bien, ça a été plus difficile cet été avec des problèmes familiaux et moins de sorties, j’ai un diabète à priori équilibre avec des courbes parfaites d’après les diabétologues même si je ne comprends pas ce que ça veut dire puisque je n’ai pas plus d’explication ou de justifications à ce sujet et je ne bénéficie pas de comparaisson ou de suppors visuels des courbes d’autres diabétiques par exemple, ça reste… abstrait, je ne sais si je suis en lune de miel ou pas comme personne ne s’accorde là-dessus 😂 et je n’ai pas encore mes résultats définitifs qui permettront, en principe, de déterminer de quel type de diabète j’ai parce que le type 1 n’est pas juste le type 1 et ce dernier se confirme par la présence ou non d’anticorps et d’autres marqueurs. Dans le type 1 nous avons aussi les diabètes Mody, LADA, michontondrial et d’autres formes plus rares ou qui sait, une nouvelle forme (non please, je veux rentrer dans un moule pour une fois dans ma vie 😂), et enfin je suis toujours sous capteur Freestyle libre 3 après avoir envisagé de changer pour tenter le Dexcom.
Je reviendrais dans une autre publication sur les mésaventures de ce premier 《bilan》 du diabète et ce que j’espère pour la suite. Parce que comme je l’ai sous-entendu ci-dessus, tout n’a pas été rose et plusieurs choses m’ont affectée du côté médical, du côté du matériel aussi…
Dans 6 mois, ce devrait être l’occasion de faire un point à l’hôpital (j’ai des rdv entre-temps pour le suivi et avec l’endoctrinologue pour noter l’évolution et faire les tests sanguins pour surveiller d’autres paramètres comme les carences et possibles autres pathologies émergences ou à risques de se développer) pour voir qu’est-ce qu’on peut changer au traitement, voir si je peux ou non passer sous pompe ou autre, comment je vis les choses et eceterae…
En attendant, Denis le diabète (je ne me suis pas encore arrêtée sur un prénom ou un petit surnom, si vous avez des idées 😆) est toujours là, il est pas trop contraignant, je suis toujours sur mes deux pied, le moral varie d’un jour à l’autre mais pas tellement dû au diabète en lui-même mais plus pour tout ce qui tourne autour (l’accompagnement, la représentation, le matériel, …) et aux multiples ajustement à tenir compte. Et à devoir au final majoritairement devoir se débrouiller toute seule, ça laisse un petit goût amer.
Et vous, si vous m’en disiez plus sur votre parcours, que vous soyez valide, malade, handicapé.e, …? Si vous avez l’envie de papoter et d’échanger, je vous lirais avec grand plaisir!
A bientôt,
Manon
Un article sans photo d’un des chiens n’est pas un article réussi
Une blogueuse qui aime trop ses chiens avec un handicap du tonnerre ! Qui me permet de ne pas entendre son compagnon chanter pendant qu’il fait à manger !
J’aime faire des promenades dans diverses régions, mes chiens (Akita et Shiba), la lecture, les jeux vidéo, les films, séries et bien entendu mon petit Diabetos de type 1 (oui oui, je lui ai donner un petit nom)
